Le rapport qui s’instaure entre le fond et l’objet, suivant lequel l’œil anticipe une certaine articulation spatiale du champ de vision pour former un motif. Une partie du champs se détache du reste qui formera le fond de l’abîme donc la quatrième dimension. Alors on pourra appréhender l’œuvre et expliquer quels phénomènes sont perçus en tant que forme, de quelle manière et pour quelle raison. Comme le montrait si bien Vasarely : « l’élaboration de la perception repose sur le rapport qui s’instaure entre le fond et l’objet. » Vais je m’engager dans la perception instable ? Je le suis déjà dans ma peinture d’abstraction lyrique. Ces tentatives numériques pour identifier ce que je veux, consiste à découper les opérations en procédures fonctionnelles. Cette succession de traitements déclenchée spontanément en laissant parler le hasard des circonstances me donnent l’impression de couler parfois. La découverte est excitante pour mon esprit. Je vais essayer d’associer dans un tableau : les procédures fonctionnelles, l’heure de début et de fin.